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lithographie

  • 1880 - RIPART Lithographies Omnibus


    [Tramways]. Georges RIPART. Deux lithographies signées, 1932 Georges Ripart. Deux lithographies signées, 1932 : tramways hippomobiles à Paris, vers 1880

    2 planches de 67 x 27,5 cm chaque, collées sur cartons. Quelques rousseurs.L’ensemble : 350€

    Beaux panoramas parisiens, comportants tous deux un envoi autographe et la signature de l’auteur à l’encre en partie inférieure gauche du dessin. En dépit de la date de 1932 et des dates de l’illustrateur et graveur français Gorges Ripart (1871-1934), les deux scènes se situent aux alentours de 1880.

    La première lithographie présente un homme tirant les chevaux d’un tramway hippomobile de la Compagnie des tramways sud, avec pour horizon les tours du Palais du Trocadéro. Cette compagnie a fait faillite en 1884.

    La seconde a pour sujet un omnibus de la ligne Porte d’Ivry-Les Halles, qui remonte une rue (la rue de l’Arbalète) en longeant le mur de l’école de pharmacie, école qui déménage avenue de l’Observatoire en 1882.

  • ROBIDA - Les Villes martyres 1914


    Albert ROBIDA. Les Villes martyres. Paris, E. Baudelot, [c. 1914] Albert Robida. Les Villes martyres. Paris, E. Baudelot, [c. 1914]. Avec un dessin original

    In-folio (32 x 51 cm), 8 fascicules , en feuilles sous chemises typographiques de différentes couleurs. Un feuillet double et une lithographe par fascicule. Sous étui et emboitage de toile noire (postérieure). Très bel ensemble, infimes défauts. 750€

    Réunion complète des huit « Villes martyres » illustrées de lithographies originales par Albert Robida : Reims, Senlis, Soissons, Ypres, Louvain, Malines, Arras et Terremonde. La planche « Reims » est agrémentée d'un dessin original aquarellé avec envoi autographe signé (nom du destinataire gratté). Toutes les lithographies sont signées au crayon sous le dessin par Robida.

    Initialement publiés en livraisons, les fascicules comportent chacun une revue des protestations françaises et étrangères, principalement par voie de presse, suite aux différents incendies.

    « Diffusé en plusieurs centaines d’exemplaires, le portfolio de Robida – qui illustre également les destructions de bâtiments historiques dans les villes de Reims, Senlis (septembre 1914), Malines (août-septembre), Arras (octobre), Termonde (août), Soissons (septembre) et Ypres(novembre) – est un témoignage de l’intense campagne de propagande visant à stigmatiser lesarmées impériales allemandes pour les destructions qu’elles causèrent au patrimoine européenlors de l’invasion de la Belgique et du nord et de l’est de la France.Une nouvelle catégorie d’atrocité naît ainsi dans l’opinion publique: l’« atrocité culturelle ». Anne Labourdette, Christina Kott, Gaëlle Pichon-Meunier, « Préserver le patrimoine en temps de guerre », 2 avril 2014

    https://www.academiedesbeauxarts.fr/sites/default/files/inline-files/partie5.pdf

  • TELORY - Anamorphoses 1868


    - Télory (ill.). Les Anamorphoses. Paris, Ed. Jullien, [c. 1868] Télory. Les Anamorphoses. Jeu complet des 24 planches et de la boite. Ed. Jullien, c. 1868

    20,8 x 17,3 cm, 24 planches lithographiées en couleurs dans un étui cartonné rouge au premier plat recouvert d'une page de titre également en couleurs.Vendu

    Série complète des 24 planches dessinées par Henri Télory (signé dans la planche du bouquet) lithographiées par Walter Frères.

    Cette rare série d'anamorphoses cylindriques, genre en vogue sous le Second Empire, rassemble des sujets traditionnels du genre (animaux, végétaux, personnages de la culture populaire) et des caricatures de personnalités du Second Empire, Napoléon III et l'Impératrice bien sûr, mais également le prince impérial sur son vélocypède.

    Télory, pseudonyme de Henry Emy était un dessinateur et lithographe du XIX ème siècle.

  • Testard : Aspect général de Paris à vol d'oiseau, c. 1850


    J. TESTARD. Aspect général de Paris, prise à vol d'oiseau de l'entrée des Champs-Elysées. Paris, Fatout, [c. 1850]

    Une feuille 88 x 62 cm. Venduparis, plan, vol d'oiseau, bird view, testard, fatout, 1850, perspective, aspect general de paris, lithographie

    Spectaculaire vue aérienne de Paris depuis la Concorde, vers l'Est. Derrière les Tuileries en majesté, la cour du Louvre est encore pour peu de temps encombrée de maisons ; la rue de Rivoli n'a pas encore rejoint la Bastille et de nombreux îlots au tracé médiéval vivent leurs dernières années...

    A droite, les boulevards partant de la Madeleine suivent l'ancien tracé de la muraille de Charles V. A gauche, le Panthéon surplombe le futur Ve arrondissement.

  • VIII - Galerie comique Mabille 1860


    NUMA [Pierre Numa Bassaget]. Galerie comique. Un Anglais à Mabille entre la faim et la soif. Angels of Darkness seizing their Prey. Lith. Régnier, Bettannier et Morlon, [c. 1860]

    Une feuille, 51,7 x 41 cm collée sur carton. Lithographie en couleurs. Vendu paris, lithographie, numa, galerie comique, bal mabille, anglais à mabille, angels of darkness, debauche, vie parisienne, bals de paris

    Numéro 15 d'une rare série de la « Galerie comique », parmi les nombreuses peintures de mœurs qui fleurissent à l'époque.

    Ce jardin artificiel créé en 1844, situé entre le n°49 et 53 de l'actuelle avenue Montaigne, était éclairé par 3000 becs de gaz et même les bosquets scintillaient grâce à des globes de verre teinté. Destiné à une clientèle aisée, il faisait tourner les esprits, entre polka et cancan.

  • XIX-XX - Engelmann - Retour Napoléon 1817


    XIXe et XXe arrondissements


    Godefroy ENGELMANN. Rentrée de l’armée française à Paris après la campagne de 1805. Paris, rue Cassette n°18.[c. 1817].paris, engelmann, lithographie, armee francaise, rentree de l armee a paris, soldats, arc de triomphe, rotonde, ledoux, 1805

    Planche lithographique, 57,5 x 42,7 cm (62 x 48,3 cm avec marges). Vendu

    Cette rare lithographie du jeune Engelmann met en image une scène méconnue qui s’était déroulée dix années auparavant : le retour à Paris de la garde impériale, le 25 novembre 1807.Napoléon avait promis à ses soldats qu’ils ne rentreraient « que sous des arcs de triomphe ». En s’appuyant sur les dessins de Chalgrin, l’un des architectes en course pour l’érection de l’arc de triomphe de l’étoile, on dresse donc à la hâte un arc triomphal en charpente et en toile afin que les valeureux soldats de retour d’Allemagne puisent débarquer depuis la « route du nord » à la barrière de Pantin, en longeant la rotonde de Ledoux.

    Non répertorié dans Léon Lang.Godefroy Engelmann. Les Incunables 1814-1817. Ed. Alsatia, 1977.

     

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