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dessin original

  • I-II - Rue des Lombards dessin - 1920


    Rue des Lombards, s.d. [Années 1920 ?]. Dessin à la mine de plomb, au crayon de couleurs et au feutre rouge sur papier calque, contrecollé sur papier fort "Aussedat et Cie, Annecy"

    110 x 34 cm. Petits défauts d’usage. 250€

    Anonyme reconstitution de la rue des Lombards médiévale, côté nord, représentée déroulée sur un parchemin. La destination de ce dessin est inconnue ; il pourrait s’agir d’un projet de décoration pour une brasserie, réalisé par un illustrateur amateur du style d’Albert Robida par exemple ? Certains détails des immeubles sont très fouillés, d’autres éléments de décor juste esquissés ; au centre, deux boutiques : « à l’horloge dorée » et « à la tasse cassée ». à l’extrémité droite du dessin, on devine l’église Saint-Merri. Trois personnages (des marchands ?), surdimensionnés et en couleurs, semblent en grande discussion. En marge inférieure, deux autres enseignes sont inscrites au crayon : « Le Pilon d’or » et « Le monteur d’or ».paris, dessin, rue des lombards, les halles, rambuteau, moyen age, dessin original, façades, architecture, paris centre

  • ROBIDA - Les Villes martyres 1914


    Albert ROBIDA. Les Villes martyres. Paris, E. Baudelot, [c. 1914] Albert Robida. Les Villes martyres. Paris, E. Baudelot, [c. 1914]. Avec un dessin original

    In-folio (32 x 51 cm), 8 fascicules , en feuilles sous chemises typographiques de différentes couleurs. Un feuillet double et une lithographe par fascicule. Sous étui et emboitage de toile noire (postérieure). Très bel ensemble, infimes défauts. 750€

    Réunion complète des huit « Villes martyres » illustrées de lithographies originales par Albert Robida : Reims, Senlis, Soissons, Ypres, Louvain, Malines, Arras et Terremonde. La planche « Reims » est agrémentée d'un dessin original aquarellé avec envoi autographe signé (nom du destinataire gratté). Toutes les lithographies sont signées au crayon sous le dessin par Robida.

    Initialement publiés en livraisons, les fascicules comportent chacun une revue des protestations françaises et étrangères, principalement par voie de presse, suite aux différents incendies.

    « Diffusé en plusieurs centaines d’exemplaires, le portfolio de Robida – qui illustre également les destructions de bâtiments historiques dans les villes de Reims, Senlis (septembre 1914), Malines (août-septembre), Arras (octobre), Termonde (août), Soissons (septembre) et Ypres(novembre) – est un témoignage de l’intense campagne de propagande visant à stigmatiser lesarmées impériales allemandes pour les destructions qu’elles causèrent au patrimoine européenlors de l’invasion de la Belgique et du nord et de l’est de la France.Une nouvelle catégorie d’atrocité naît ainsi dans l’opinion publique: l’« atrocité culturelle ». Anne Labourdette, Christina Kott, Gaëlle Pichon-Meunier, « Préserver le patrimoine en temps de guerre », 2 avril 2014

    https://www.academiedesbeauxarts.fr/sites/default/files/inline-files/partie5.pdf

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