1927
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C - Livre d'or caoutchouc 1927
Le Livre d’or de l’industrie du caoutchouc. Revue générale du caoutchouc, janvier 1927. Paris, imp. «L’émancipatrice »
22 x 27,5 cm, broché, 315 p. Petits défauts. 180€
Belle publication à la couverture signée Bravill, éditée à l’occasion de la 7e exposition internationale du caoutchouc qui s’est tenue à Paris.
Préface de Maurice Bokanovski, ministre du commerce et de l’industrie, présentation des oeuvres sociales par Edouard Michelin et contributions de personnalités de l’industrie pour évoquer la fabrication, la consommation et la technologie.
Avec d’abondantes publicités, des photographies et des cartes, ainsi que la liste des adhérents du syndicat, un répertoire des monographies industrielles...
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I-II - 1927 - Sainte-Chapelle Robida
♦ G. RENARD, A. ROBIDA. La Sainte-Chapelle du Palais. Paris, Les Beaux livres du foyer français, 1927
In-8 broché, couv. illustrée, 32 p. 60€
Edition de luxe sur papier pur fil Lafuma. Elégante plaquette contant l’histoire de la Sainte-Chapelle, avec une vingtaine d’illustrations en noir et blanc signées Albert Robida.
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WARNOD - Les fortifs 1927
♦André WARNOD. Les « Fortifs ». Promenades sur les anciennes fortifications et la zone. 40 lithographies de Serge-Henri Moreau.éditions de l’Epi, 1927.
In-4, broché. Bel exemplaire.Vendu
Edition originale, un des 245 exemplaires numérotés sur Madagascar.
Warnod à la plume et Moreau au pinceau ont voulu témoigner de ces fortifs dont les pierres fument encore, en 1927, de la poussière des coups de pioche de la démolition. (« Par ces images, nos petits enfants sauront ce que furent la zone et les fortifs. ») On se promène tour à tour à la porte Pouchet et à Saint-Ouen (avec son bistrot pour chiffonniers « à Picolo »), à Montreuil pour la kermesse du dimanche, à la porte de Vincennes (avec ses roulottes de bohémiens), ou encore à la porte de Vanves pour visiter son village de chiffonniers : la cité Blanchard.
« On ne raye pas d’un coup de plume un pays comme celui des « zoniers », les chiffonniers ont toujours leurs cités, les bohémiens campent toujours par là. Tout cela devient très précaire, ce que nous avons vu et que nous allons décrire, peut- être demain plus personne ne le pourra voir et il ne restera pour s’en souvenir que les lithographies de Serge-Henri Moreau qui composent cet album. Il aurait été désastreux qu’on n’ait pu conserver l’image de ces portes, de ces octrois, qui déjà rappelle un autre temps que le nôtre. » A. Warnod