A l’angle des rues des Francs-Bourgeois et des Trois-Pavillons (aujourd’hui Elzévir) se trouvait l’hôtel des Trois-Pavillons, qui avait été construit au début du xviie siècle.

4 février 1640 : « Sentence de licitation de la maison de la rue des Francs-Bourgeois », 8 ff. / 12 mars 1653 : « Contrat d’acquisition fait d’un quart et demi par M. Le Lectier de M. Chahu d’une petite maison sise rue des Trois Pavillons faisant partie de la succession de feu madame Barantin. », 6 ff. / 9 janvier 1664 : Mise en adjudication d’une grande maison sise rue des Francs Bourgeois, saisie sur dame Marguerite Barentin, veuve du marquis Urbain II Laval de Boisdauphin, 4 ff. / 1er octobre 1738 : « Bail de ma maison rue des Trois Pavillons louée à mademoiselle de Clermont, 1300 livres par an, à compter du 1er octobre 1738 ». Maison louée par Charles Jean Guillemin de Courchamp, capitaine de régiment des gardes françaises, à Charlotte Léonore de Clermont, fille majeure demeurant à Paris, rue des Douze Portes. (4 ff) / 1er février 1740 : Contrat entre « Charles Jean Guillemin de Courchamp, chevalier capitaine au régiment des gardes françaises, chevalier de l’ordre royal et militaire de St-Louis, demeurant à Paris rue des Trois Pavillons », et « Catherine Pocquelin, , veuve de Claude Jacquin bourgeois de Paris demeurant rue Mauconseil » : versement par de Courchamp d’une rente de 409 livres annuelles, à prendre « sur deux maisons se joignant sises à Paris, l’une rue des Francs-Bourgeois, et l’autre sise rue des Trois Pavillons, que le sieur instituant est en train d’acquérir du Marquis de Souvré, moyennant soixante-dix mil livres ». (Françoise Symonet avait épousé, avant 1659, Philippe Poquelin, cousin germain de Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière ; leur fille Catherine épousa à Paris, en 1693 Claude Jacquin, marchand drapier) (2 ff).